Zoukougbeu, depuis la crise postélectorale, nombreux sont les jeunes (filles/garçons) et les femmes du milieu rural qui sont confrontés dans la vie quotidienne à des difficultés économiques. Ces populations sont dans une misère alors que les fruits de leurs travaux sont prisés à travers la Côte d’Ivoire et le monde. Cette situation des populations de Zoukougbeu a été empirée par les crises successives qu’a connues notre pays.

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Cependant, depuis la fin de la crise postélectorale, l’emploi des jeunes et l’autonomisation des femmes font partie des défis que s’est donnés l’État de Côte d’Ivoire. Ces préoccupations du gouvernement sont fortement soutenues par les partenaires au développement, dont la Banque mondiale et les institutions d’appui technique. Dans ce cadre, différentes initiatives de promotion de l’emploi des jeunes et de l’autonomisation des femmes ont été mises sur pied.

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Malgré ces initiatives du Gouvernement ivoirien, les réalités sont affligeantes aujourd’hui dans la région du Haut Sassandra en général et en particulier dans le département de Zoukougbeu : insécurité grandissante, dégradation des mœurs, l’abandon scolaire, l’exode massif des jeunes, l’accroissement du taux d’analphabètes, l’accroissement du taux du VIH-SIDA et les autres pandémies, la dégradation de l’environnement, etc.

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Conscient que la pauvreté n’est pas une fatalité et que la combattre n’est qu’une question de volonté, d’organisation et de leadership, l’ONG FOBMIR décide d'améliorer les conditions de vie des populations du département de Zoukougbeu pour un développement meilleur. Ce souhait exige la mise en place d’une structure dynamique dans ledit afin d’accompagner les femmes et les jeunes dans leur quête de l’auto emploi et le développement durable.